15 nouvelles oeuvres monumentales à découvrir dès le 1er mai !

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Le printemps est de retour et avec lui, Jardin des Arts, l’exposition de sculptures et installations monumentales. Comme chaque année depuis 23 ans, de mai à septembre, Châteaubourg et le parc d’Ar Milin’ (Bretagne) se parent de nouvelles couleurs, formes et matières.

Cette 23ème édition nous invite à partager des histoires de vie, de cycles, d’énergie, de mouvement, de paysage, d’équilibre ou encore d’intimité. Sept artistes (ou collectif) présentent une quinzaine d’oeuvres monumentales, tour à tour engagées, malicieuses, poétiques… comme une invitation à s’interroger, s’amuser, rêver encore et toujours.

Voyagez à travers la matière transformée, de l’infiniment grand à l’infiniment petit, du visible à l’invisible, de l’origine au devenir… Qu’il s’agisse de bois, d’inox, de plastique, chaque oeuvre inscrit une forme singulière dans le monde commun.

Ça jaillit, ça s’ancre, ça s’enracine, ça vole… Jardin des Arts 2025, c’est certain, va nous transporter !

7 artistes du monumental

Un parcours artistique toujours aussi éclectique au fil duquel on rencontre Gilles Brusset qui fusionne sculpture et paysage, créant avec L’oeil topographe une oeuvre qui regarde le paysage.

Jean-Michel Caillebotte, sculpteur et scénographe, donne vie à une créature étrange et fascinante, La bête, une installation interactive jouant avec le mouvement et l’imaginaire.

Plongée dans l’univers de Steph Cop, inspiré par la forêt noire du Morvan. Il sculpte des arbres tombés, prolongeant leur existence sous forme de figures monumentales qui tissent un lien puissant entre l’art et le vivant.

Karine Debouzie, elle, invite à interroger perceptions et relations aux flux du vivant à travers des installations tentaculaires d’un jaune lumineux.

Au détour d’un chemin, on découvre un étrange fer à repasser ou une gigantesque sauterelle : les Compagnons Art Nature, collectif de cinq artistes mayennais, mêlent peinture, sculpture sur métal et assemblage végétal pour créer des oeuvres hybrides et surprenantes.

Samuel Perche, en résidence de création pendant quatre mois, explore quant à lui les masculinités contemporaines et la libération de la parole, à travers une oeuvre en bois intime et engagée dans une Étreinte des corps.

Enfin, Guillaume Roche façonne l’acier inoxydable, interrogeant la transformation de la matière et l’énergie qui s’en dégage. Devant son alignement de trois mégalithes modernes, émerveillement garanti !